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(Note de lecture parue dans le Bulletin de la Société d’études scientifiques de l’Aude, tome XCVII, 1997, pages. 172-173 et mise à jour pour le 13 juin 2001)
Magnou-Nortier
(Élisabeth), Magnou (Anne-Marie). Recueil des chartes de l’abbaye
de Lagrasse. Tome 1, 779-1119. Paris, Comité des travaux historiques et
scientifiques, 1996, 346 p.
Le
premier tome des Chartes de l’abbaye de Lagrasse vient d’être édité dans
la prestigieuse collection de documents inédits sur l’histoire de France, dont
il constitue le volume 24 de la série in 8°. Comme nous a habitué cette
collection, ce volume constitue un modèle de rigueur en matière d’édition de
textes. Cela ne peut donc que nous faire regretter que ces publications ne
soient pas plus nombreuses en France, que le coût de cet ouvrage (400 F) et sa
distribution quasi confidentielle en limitent la diffusion.
Cette
publication est l’œuvre d’Élisabeth Magnou-Nortier et d’Anne-Marie Magnou. La
première est l’auteur d’une thèse sur la société laïque et l’église dans la
province ecclésiastique de Narbonne (fin VIIIe- fin XIe) qui l’avait amené à
s’intéresser au fonds de Lagrasse. La seconde a déjà à son actif la publication
avec Pierre Gérard des Cartulaires des templiers de Douzens dans la même
collection.
L’ouvrage
commence par une solide introduction portant d’abord sur l’abbaye de Lagrasse,
ses historiens et son histoire. Elle comprend ensuite une étude lexicographique
sur la gestion du patrimoine monastique où sont notamment analysés les sens des
mots villa, villare, alleu, manse... Cette introduction
se termine en énonçant les principes d’édition du recueil.
Le
choix a été de retenir tout acte provenant des fonds de l’abbaye de Lagrasse
conservé aux Archives de l’Aude ou connu par des copies ou éditions anciennes,
et d’y adjoindre tout acte intéressant l’histoire de l’abbaye quel qu’en soit
l’origine. A cela deux exceptions : les auteurs n’ont pu (par manque de temps
?) accéder aux archives catalanes. C’est d’autant plus regrettable que les
Archives de la couronne d’Aragon conservent à Barcelone un fonds d’une
dépendance de l’abbaye, le prieuré de Ridaura, qui semble comprendre de
nombreux originaux et inédits (1)
L’autre exception faite par les éditeurs est de ne pas prendre en compte les
donations faites à Lagrasse qui ne la concernaient pas autrement. Pourtant, les
testaments catalans exploités par Pierre Bonnassie dans sa thèse (2), comportent parfois des donations de biens
fonciers à Lagrasse. Sans ces actes, on ne peut comprendre l’origine d’une
partie du patrimoine foncier de l’abbaye. De manière plus générale, tous les
actes ne concernant que partiellement ou accessoirement Lagrasse et dont
l’édition n’avait pas sa place ici, auraient cependant mérités d’être signalés
par une courte analyse en annexe.
Au
total l’édition rassemble 208 actes datés de 779 à 1119, dont environ un tiers
sont inédits. Pour les textes déjà connus l’édition est presque toujours
l’occasion d’améliorer le texte. Pour beaucoup d’actes qui passaient pour
sincères, les auteurs ont montré qu’il s’agissait de faux fabriqués au début du
XIIe ou au XIIIe siècle. L’identification de ces faux remet donc en question de
nombreux points d’histoire locale. On dispose donc maintenant sur l’Aude et
plus généralement sur le Languedoc et la Catalogne d’un nouveau corpus de
textes fiables et intéressant de nombreux sujets. L’exploitation de cette
documentation est facilitée par trois index (personnes, lieux, matières).
Cependant,
tout travail de cette ampleur comporte des petits défauts. Nous croyons que la
datation des actes 31 et 95 est à revoir à la lumière des travaux de Michel
Zimmermann (3).
On retrouve dans l’index des lieux toutes les erreurs d’identification du Dictionnaire
topographique de l’Aude de l’abbé Sabarthès et quelques autres. Nous avons
relevé enfin quelques lacunes dans l’index matière, notamment sur le
vocabulaire des fortifications.
Ce recueil qui constitue déjà une référence devrait être suivi bientôt dans la même collection d’un second volume. Ce second volume, œuvre de Claudine Pailhès actuelle directrice des Archives départementales de l’Ariège, comprendra les actes de l’abbaye de Lagrasse de 1119 à 1279 (4).
Gauthier
LANGLOIS
Notes
(1) Voir SALRACH (J.-M.), " Memoria, poder i devociò: donacions catalanes a La Grassa (segles IX-XII) ", Histoire et archéologie des terres catalanes au Moyen Âge, Presses universitaires de Perpignan, 1995, p. 103-118.
(2) BONNASSIE (P.). - La Catalogne du milieu du
Xe siècle à la fin du XIe siècle, Toulouse : Publications de
l'Université de Toulouse-le-Mirail, 1975-1976, 2 vol.
(3) ZIMMERMANN (M.), " La datation des documents catalans du IXè au XIIè siècle. Un itinéraire politique ", Annales du Midi, tome 93, 1981, p. 345-375.
(4) En attendant cette publication on pourra consulter la thèse de C. PAILHÈS : Les actes de l'abbaye de Lagrasse, 1115-1279 aux Archives Départementales de l’Aude sous la cote 2J 219. Thèse parue depuis la publication de cette note de lecture : Pailhès (C.). – Recueil des chartes de l'abbaye de La Grasse, tome II, 1117-1279, Paris : Éditions du Comité des Travaux historiques et scientifiques, 2000, 448 p.
(Texte inédit)
· p. LXXIII, sources manuscrites. Rajouter les références suivantes :
Archives départementales de l’Aude, H 211. (Inventaire des actes de la mense conventuelle de l’abbaye de Fontfroide, rédigé en 1594).
Bibliothèque municipale de Narbonne, ms. 314. (Inventaire des actes et documents de l’archevêché de Narbonne, rédigé par Antoine Rocque en 1640).
· p. LXXVII, Bibliographie, travaux sur Lagrasse. Rajouter les références suivantes :
BAUDREU (D.). - " Villa, vicaria, castrum. Aux origines d'un village du Bas-Razès : Malviès (Aude) au IXe siècle ", Annales du Midi, t. 99, 1987, pp. 495-511.
CLÉMENT (F.), " Le pèlerinage à Lagrasse d'après une source arabe du XIe siècle " Annales du Midi, t. 100, 1988, p. 489-495.
LANGLOIS (G.), " La formation de la seigneurie de Termes ", Heresis, n° 17, décembre 1991, p. 51-72 et n° 18, juin 1992, p. 71.
SALRACH (J.-M.), " Memoria, poder i devociò : donacions catalanes a La Grassa (segles IX-XII) ", Histoire et archéologie des terres catalanes au Moyen Âge, textes réunis et présentés par Philippe Sénac, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 1995, p. 103-118.
· p. 10, acte 5 et p. 249, acte 188. Ventajou se trouve sur la commune de Félines-Minervois (Hérault), et non sur la commune de Félines-Termenès (Aude).
· p. 51-52, acte 31. La datation de l’acte qui utilise un comput posthume après la mort de l’empereur Charles et se place sous la souveraineté du Christ est comparable à celles relevées par Zimmermann en Catalogne sous le règne d’Eudes. Elles traduisent selon Zimmerman une attitude désorientée face à l’usurpation du trône par Eudes qui n’est pas reconnu. Ce type de datation n’aurait pas lieu d’être si l’acte datait de 877 car la succession de Charles-le-Chauve en 877 avait été légitime : Louis II le Bègue fils de Charles-le-Chauve est couronné roi le 8 décembre 877. Cf. ZIMMERMANN (M.), " La datation des documents catalans du IXe au XIIe siècle. Un itinéraire politique ", Annales du Midi, tome 93, 1981, n° 154, p. 345-375. L’acte daterait donc plus probablement de 888 comme le pensaient déjà Devic et Vaissette.
· p. 57, acte 34. N’y a-t-il pas à suspecter une erreur du scribe ou d’un copiste sur la localisation de la cella Saint-Clément dans le comté de Girone ? Il y a une église dédiée à Saint-Clément à Jonquières, lieu voisin de Saint-Martin des Puits cité immédiatement après dans l’acte. D’ailleurs tous les autres lieux sont situés dans l’entourage immédiat de Saint-Martin.
Le lieu de Merneblès correspond au lieu-dit Minièrme, sur la commune de Palairac.
Le fisc de Jonquières en Razès ne correspond pas à la commune de ce nom, canton de Durban dans le Narbonnais, mais à un écart de la commune de Mayronnes.
· p. 109, acte 66.
Aureria, actuellement Laurio, ruisseau, village déserté et église ruinée, commune de Lairière, et non Lairère.
Retgas : je ne vois pas ce qui permet d’identifier ce lieu avec Villerouge-Termenès.
Seriniano : l’identification avec Serviès-en-Val est douteuse, Serviès étant en Carcassès et non en Narbonnais. Il faut sans doute lire Periniano (actuellement Fleury-d’Aude). D’ailleurs, Doat n’avait pas réussi à lire ce nom qu’il avait aussi transcrit Gervario.
Villare Asenario : l’identification avec Font d’Alzène, commune de Bouisse est douteuse. Bouisse étant en Razès et non en Narbonnais.
·
p.
130, acte 79. Cet acte est également indiqué dans l’Inventaire des actes de
l’abbaye de Fontfroide, A.D. Aude H 211, f° 126 r°.
·
p.
144, acte 95. La datation, 37e année du règne de Robert, n’est pas forcément
une erreur de graphie. Elle traduirait l’ignorance du scribe de la mort du roi.
D’autres cas similaires ont été relevés notamment par Zimmermann dans les
archives catalanes : " la connaissance des événements survenus
au nord des Pyrénées est bien imprécise ou du moins parvient bien lentement
dans nos comtés [catalans] : la nouvelle de la mort de Robert est une
rumeur et Philippe Ier est encore roi après 50 ans de règne " (Op.
cit., p. 367-368). L’acte daterait du 3 août 1033, soit 2 ans et 9 mois
après la mort du roi. On est alors en pleine " révolution
féodale " au plus fort de la décomposition du pouvoir. Quoi
d’étonnant alors que la mort du roi soit passé dans les Corbières comme en
Catalogne comme presque inaperçu.
·
p.
195, acte 140. Cet acte est également indiqué dans l’Inventaire des actes et
documents de l’archevêché de Narbonne, tome 2, f° 56.
·
p.
216-217, acte 154. Cet acte est conservé dans le cartulaire des Trencavel où les
éditeurs de l’Histoire générale de Languedoc l’avaient transcrit sous la
date non justifiée de 1099. Dans l’intervalle du règne roi Philippe, le 26 mars
tombe un samedi en 1065, 1071, 1076, 1082, 1093, 1099 et 1104. D’autre part le
scribe, Osmond,est signalé de 1095 à 1132 (5). Enfin, cet acte est très
certainement postérieur à 1082 (date à laquelle Ermengarde et son fils
reprennent possession de Carcassonne) et antérieur 1101 (date à laquelle
Ermengarde qui meurt en 1105, disparaît de la vie publique). La date de 1099,
retenue par les éditeurs de l’Histoire générale de Languedoc apparaît donc
comme la plus probable.
L’argument
identifiant Sainte Marie au monastère de Camon sous prétexte que cet acte était
conservé à Foix n’est pas recevable : toutes les archives des Trencavel et
en particulier leur cartulaire s’y trouvaient depuis le début du XIIIe siècle.
Voici le texte d’après le cartulaire :
B. Cartulaire des
Trencavel, Société archéologique de Montpellier, acte 567, f° 222.
||1 Noticia carta guirpitoria quam ego Hermengardis vicecomitissa ||2 et filius meus Bernardus Ato facimus ad domino Deo et Sancte Marie
matris eius. ||3 Guirpimus igitur atque derelinquimus Martinum
Sperandi et Poncium Sperandi fratrem ||4 suum et
uxores eorum et infantes et omnem illorum genealogiam atque posteritatem.
Similiter quoque ||5 derelinquimus et guirpimus Bernardum Amelii, et
uxorem eius et eorum infantes atque ||6 omnem
eorum posteritatem, et derelinquimus infantes qui fuerunt de Ameli Aigolfi, et
||7 eorum posteritatem. Sicut suprascriptum est sic
ego iamdicta vicecomitissa, Hermengardis ||8 et filius
meus Ato guirpimus et derelinquimus iamdictos homines et eorum uxores ||9 et infantes et omnem eorum posteritatem a domino Deo et sancte
matris eius, et ipsos ||10 homines sine ulla retinencia, et sine ulla
reservatione ; quod nos iamdicti guir- ||11
-pitores sive ullus homo sive ulla femina sive ulla cuiuscumque persone
potestas istam ||12 cartam et istam guirpitionem per ullum ingenium
sive per ullum convenenciam ||13 iam amplius
infringere et interpellare non possimus et possint, set ista carta firma ||14 et stabilis omni tempore permaneat. Facta carta ista .VII°.
kalendas aprilis .VII. feria anno quoque ||15 regnante
rege Philippo. Signum Hermengardis vicecomitissa, et Bernardus Ato filii ||16 mei, qui sic istam cartam firmavimus et testibus firmari
mandavimus eam. ||17 Signum Guillemi Pontii de Carcassona. Signum
Fulcho de Villa Florani. Signum Pontii de Ma- ||18
-filia. Osmundus scripsit die et anno quo supra.
·
p. 218, acte 156.
L’auteur de l’acte, Arnaud Guillelm de Salses vivait en 1071 (voir acte 116) et
fait un don à Elne en 1100 (B.N. coll. Moreau 37, f° 237). Cela confirme la
datation suivant l’écriture avancée par les éditeurs.
·
p.
220, acte 159 et p. 249, acte 188. Albars : actuellement le Bas,
ferme, commune de Moux, ancien prieuré sous le vocable de Notre-Dame uni à
l’abbaye de Lagrasse (voir Sabarthès) et non Albas, commune du canton de
Durban.
·
p.
229, acte 169 et p. 236, acte 175. Adémar de Villerouge. Il s’agit plutôt de
Villerouge-Termenès en raison de la localisation des biens énoncés (Tréviac,
Maisons) que de Villerouge-la-Crémade, commune de Fabrezan.
·
p.
231. Il y a lieu de rajouter l’acte suivant, numéroté 170 bis.
170 bis
1103
Bernard de Villesèque et Pierre son frère engagent à l’abbé Robert et aux moines de La Grasse, les deux parties de la dîme de l’église Saint-Adrien de Tournissan pour 528 sous de Narbonne, excepté cinq muids que les hommes de Durfort tenaient en fief, et avec la clause que si, lors du rachat, cette monnaie était de billon, ils rendraient douze livres d’argent fin au poids de Narbonne (6).
[A]. Archives de
l’archevêché de Narbonne, coté La Grasse, n° 1. B. Analyse de 1640 par
Anthoine Rocque dans l’Inventaire des actes et documents de l’archevêché de
Narbonne, tome 2, f° 382 ; B.M. de Narbonne, ms. 314.
Analyse
d’après B.
Premierement
un acte de l’an 1103 par lequel Bernard de Villeseque et Pierre son frere baillairent
en engaigement a Dieu Nostre Dame de La Grasse et au sieur Robert abbé et
moynes dudit lieu, les deux partyes du disme de l’eglise de St. Adrian de
Tournissan pour 528 s. monoye narbonaise exepté toutefois de la moitié dicelluy
cinq muids que les hommes de Durfort tenoient a fief, avec ceste condition que
si ceste monoye estoit au billon ils rendroient lors du rachat doutze livres de
fine plats d’argent, au poids de Narbonne. Cotté n° 1.
·
p.
248, acte 188. Quelques arguments supplémentaires en faveur d’un faux qui n’est
pas antérieur au début du XIIIe siècle. 1) Le château de Termes est appelé castrum
de Terminis. Cette orthographe, au pluriel et erronée n’apparaît
pour la première fois qu’en 1215, sous la plume de greffiers travaillant pour
les croisés venus du Nord. (cf. LANGLOIS (Gauthier). - " Étymologie et orthographe de Termes (Aude), et des noms
dérivés ", Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude,
t. LXXXXIII, 1993, pp. 167-169). 2) La localisation de Termes in Narbonesio
n’apparaît dans aucun autre document. On rencontre seulement in Terminesio,
et il est probable Termes ait primitivement fait partie du comté de Razès et
non du comté de Narbonne. 3) Aucun autre acte n’atteste d’un droit quelconque
de l’abbaye de Lagrasse sur Termes. (Cf. LANGLOIS (Gauthier). - " La
formation de la seigneurie de Termes ", Heresis, n° 17,
décembre 1991, pp. 51-72 et n° 18, juin 1992, p. 71).
·
p.
271, acte 203. Sancti Stephani de Romaneto : correspond actuellement au lieu-dit
Saint-Estèbe au sud de Mouthoumet, où subsiste une église ruinée.
·
p. 338. Rajouter
les références suivantes : Castellare, 32. Castellum, 5, 57.
Castrum, 5, 89, 37, 39, 57, 64, 91, 114, 119, 135, 144, 188, 195, 203. Cinctus,
95.
·
p. 341, rajouter
les références suivantes : Mercatum, 64, 91.
·
p. 344, rajouter
les références suivantes : Turre, 95, 195.
Notes
(5) Osmond est connu comme rédacteur de
sept autres actes entre 1095 et 1132 principalement pour les vicomtes de Carcassonne
ou des nobles des environs de Carcassonne (Recueil des Chartes de l’abbaye
de Lagrasse, I, actes 177 et 200; H.G.L. V, cc. 736 et 738; Cartulaires
des templiers de Douzens, actes A 89, et D 1; Cartulaire des Trencavel,
acte 263, f° 84 v°). Un certain Osmundus, sacerdos ou Osmundus,
diaconus, peut-être le même que le précédant, apparaît aussi comme
témoin et signataire de plusieurs autres chartes de 1142 à 1148. (Cartulaires
des templiers de Douzens, actes A 148, 149, 206, B 18).
(6) Cette dernière clause est destinée à
se prémunir contre les mutations monétaires, ici au cas où le vicomte de
Narbonne déciderait de frapper non plus des pièces en argent mais en billon,
c’est à dire un mélange de cuivre et d’argent. Cet acte s’inscrit dans une
série d’engagements faits à l’abbaye de 1102 à 1109, (cf. actes 169, 175, 176,
184, 185), dont les termes sont assez proches et qui prévoient aussi parfois
des mutations monétaires.
Quelques sources
complémentaires sur Lagrasse (liste non exhaustive)
q
Langlois (Gauthier). – Olivier de
Termes, le cathare et le croisé (vers 1200-1274), Toulouse :
Éditions Privat, 2001, 288 p. (Collection Domaine cathare). q
Dossier
Olivier de Termes, le cathare et le croisé sur le site Cathares.org |
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Pailhès
(Claudine). – Recueil des chartes de
l'abbaye de La Grasse, tome II, 1117-1279, Paris : Éditions du
Comité des Travaux historiques et scientifiques, 2000, 448 p. q
Simmonet
(Émile-Jean) - Édition critique du
roman de Notre Dame de Lagrasse, thèse de 3e cycle de lettres
sous la direction de Madame Thiolier, Université de Paris IV - Sorbonne,
Institut de littérature et de langue d’Oc, 1988, 295 p. dactylographiées.
(C.E.C. microfiche). Version en ligne (sans les notes, les cartes, la
bibliographie) <http://www.multimania.com/simmonet/sitfen/tabsom.htm>
q
Simmonet
(Émile-Jean) - « Le roman de Notre Dame de Lagrasse », La France Latine, Foi et Littérature au
Moyen Âge, n° 116, 1993, pp. Version en ligne : <http://www.multimania.com/simmonet/sitfen/lagrasse.htm> |
q
L'abbaye de Lagrasse sur le site Cathares.org |
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Page réalisée par Gauthier LANGLOIS Extraite du site Paratge à
l’adresse : |